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Le port demeure-t-il une vache à lait aux agents de l’OTR et complices ?
Publié le mercredi 20 avril 2016  |  icilome


© aLome.com par Parfait
L’immeuble de la direction administrative du Port Autonome de Lomé (PAL)


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Au Port autonome de Lomé, les activités économiques sont au ralenti. Maliens, Nigériens et certains Burkinabés ont déserté notre côte. Et l’enrichissement illicite, a-t-il baissé ?

Les informations ne sont pas bonnes. Plusieurs sources indiquent qu’au Port autonome de Lomé, les agents de l’Office Togolais des Recettes (OTR) continuent allègrement de rentrer à la maison les poches pleines, sans attendre la fin du mois.

L’une des pratiques qui permettent aux agents de s’embourgeoiser est celle de laisser passer les marchandises sans soumettre leurs propriétaires ou représentants au paiement du montant dû. C’est une pratique vieille au port. Avec l’Otr et l’introduction d’un scanner, on s’attendait à ce que la pratique disparaisse. Mais, visiblement, serait toujours courante. Selon les informations recueillies par notre Rédaction, les importateurs prennent le soin de placer des marchandises de valeur au fond des conteneurs et les couvrent avec d’autres de moindre valeur. On peut par exemple bourrer le conteneur de champagne de grande valeur, et, vers l’ouverture, mettre quelques rangées de papiers hygiéniques. La conséquence immédiate est que même si on ouvre le conteneur, l’agent des douanes ou toute autre personne qui n’aura pas fouillé le conteneur de fond en comble ne pourrait s’apercevoir de la triche. Et, parfois (souvent ?), certains agents se contentent juste d’ouvrir les conteneurs (au cas échéant) et les fouiller de façon très superficielle. Cela se passe rarement sans la complicité de l’importateur ou de son transitaire.
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