Nous avions publié le 12 Avril 2016 la première partie, de cette information sur un fugitif congolais qui résiderait au Togo clandestinement et qui serait une menace pour la population togolaise et le régime en place. Peut-être certains croiront que c’était une farce et d’autres supposeront que c’est une plaisanterie de mauvais goût servie sur les nouveaux médias.
Par la publication de l’Acte 2, nous allons avancer dans nos informations étant donné que quelques confrères journalistes ont déjà entamé des investigations pour vérifier les informations contenues dans notre publication.
Cet énergumène, fripouille, chien galeux de congolais, objet de notre publication dédaigne toujours à l’endroit des citoyens togolais et ceci sur leur territoire.
Ce fugitif âgé d’une quarantaine d’année serait hébergé dans les locaux où il est employé. Recevant régulièrement son salaire à la fin du mois comme tous les autres employés de la structure, ce clandestin irresponsable s’obstine à trouver un logement à ses frais parce qu’il arrive à faire des affaires illicites et préparerait des missions nocturnes in cognito dans son logis.
Selon des sources concordantes, il disposerait d’un créneau pour établir également de faux documents. Ce misérable qui n’arrive pas à s’assumer les trois repas par jour préfère donner rendez-vous aux jeunes filles collégiennes et étudiantes dans l’enceinte de St Jean, un lieu de détente situé proche du Collège St Joseph au quartier Super taco. Cet arnaqueur entretient des relations avec des prostituées et on se demande si ce faux évangéliste cherche à les délivrer. Après enquête, nous avions pu constater l’implication de ce fugitif dans une affaire rocambolesque dont la DPJ a été saisie en Juillet 2015.
Nous avons porté l’information aux services de Renseignement du Togo pour suivre le dossier. Mais nous comptons revenir sur l’Acte 3 de notre publication lundi prochain si possible.... suite de l'article sur Autre presse