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Togo : Les policiers bandits togolais rackettent allègrement de pauvres gens
Publié le mardi 26 avril 2016  |  AfreePress


© aLome.com par Parfait
Marche de protestation du MMLK -contre les violences à Mango- qui n`est jamais allée à son terme, à cause de tirs de gaz lacrymogène.
Lomé, le 13 novembre 2015. Plusieurs ressortissants de la Préfecture de l`Oti ont répondu à l`appel à manifester du MMLK pour dénoncer les violences meurtrières à Mango et la repénalisation du délit de presse dans le Code pénal togolais.


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Il y a quelques mois, les braquages d’individus non identifiés et les vols de tout genre étaient quasi quotidiens. Aucun jour ne passait sans que l’on n’enregistre des violences liées au vol et des lynchages de présumés voleurs.

Dans plusieurs quartiers de Lomé, des vols de motos avaient été signalés et plusieurs personnes ont été attaquées à coups de machettes. Si aujourd’hui ces violences semblent s’être tues, les rackets des agents des forces de l’ordre et de sécurité, eux, se poursuivent. D’ordinaire, il est connu que ces actes inciviques auxquels se livrent les forces de l’ordre se passent dans la journée, et parfois la nuit sur les grands axes routiers. Mais ce dont nous avons été témoins aux environs de 22 heures 30 minutes dans la nuit du mercredi à jeudi est une autre forme de banditisme.

La scène s’est passée au quartier Hanoukopé à l’angle de la rue des Ormes et du Boulevard du 13 Janvier. Un conducteur de taxi-moto avait été poursuivi depuis le CHU-Sylvanus Olympio par deux individus, eux aussi à moto. Et alors qu’il voulait déboucher sur le boulevard, ses poursuivants se pointent devant lui, l’empêchant ainsi de poursuivre sa route. « Arrête-toi. Descendez de la moto. Donne-moi la clé », ordonne l’un des poursuivants. Le conducteur arrête l’engin, fait descendre ses deux passagers, et à peine a-t-il mis pieds à terre que la clé fut retirée de son engin. Et le reste se passe très vite. Les passagers quittent les lieux et l’un des « braqueurs » ordonne au conducteur de taxi-moto de s’asseoir sur le siège passager et repartent avec les deux motos en direction du Commissariat central, même si nous ne connaissons pas leur destination.
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