Fête d’indépendance : Militaires, paramilitaires et civils ont défilé pendant plus de 2 heures devant Faure Gnassingbé

Politique

Publié le jeudi 28 avril 2016 | AfreePress

© aLome.com par Parfait et Edem Gadegbeku
Tradition du défilé du 27 avril respectée en présence de plusieurs invités et des officiels de la République
Lomé, le 27 avril 2016. Place des fêtes, près du site de la Nouvelle Présidence. Faure GNASSINGBE a assisté au 11ème défilé de l`indépendance, dans le cadre de sa gouvernance.

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Commémoration des 56 ans d`indépendance du Togo

Un défilé militaire, paramilitaire et civil a marqué ce mercredi les festivités du 56ème anniversaire de l’indépendance du Togo à la place des fêtes de la Présidence de la République, sous les yeux du chef de l’Etat, Faure Gnassingbé.

Etaient également présents le Premier ministre, Komi Sélom Klassou, le Président de l’Assemblée, Dama Dramani et les présidents des institutions de la République, les Ambassadeurs et les chefs des organisations et institutions accréditées au Togo. Ont également fait le déplacement des lieux, certains acteurs politiques de l’opposition comme les anciens Premiers ministres, Me Yawovi Agboyibo du Comité d’action pour le renouveau (CAR) et Agbéyomé Kodjo de l’Organisation pour bâtir dans l’union un Togo solidaire (OBUTS), le président du Parti démocratique panafricain (PDP), Bassabi Kagbara et Francis Ekon de la Convergence patriotique panafricaine (CPP) etc.

Le défilé a démarré à 9 heures 48, soit 20 minutes après l’arrivée du chef de l’Etat en compagnie du chef d’Etat-major général des Forces armées togolaises (FAT), le général Félix Abalo Kadanga dans la voiture de commandement.

Se sont succédés sur la piste, après le feu vert donné par Faure Gnassingbé, chef suprême des armées, au colonel Kodjo Kégnon de la gendarmerie nationale, le Régiment para commando (RPC), les troupes aéroportées, les parachutistes commandos et le Régiment commando de la garde présidentielle (RCGP) conduit par le colonel Dolama Malana.

Le premier régiment d’infanterie a été suivi par les écoles et troupes paramilitaires à l’instar des élèves de l’Ecole de formation des FAT (EFOFAT), de l’Ecole du service de santé des armées de Lomé (ESSAL) et de l’Ecole militaire Eyadéma de Tchitchao.

La police nationale a pris le relais et a laissé la place aux gardiens de sécurité du territoire, notamment les sapeurs pompiers, la douane, les corps des eaux et forêts, les gardiens de préfecture, la réserve opérationnelle, le régiment de reconnaissance et d’appui et les troupes motorisées comme les anti-aériens, les véhicules équipés, la composante transport, les éléments de soutien logistique, les lance-roquettes multiples etc. ... suite de l'article sur AfreePress

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