Décidemment, la nouvelle pomme de discorde entre le parti au pouvoir, l’Union pour la République (UNIR) et l’Alliance nationale pour le changement (ANC, opposition) est la désignation de cinq (5) personnes par l’Assemblée nationale pour siéger à la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC).
Sur RFI ce vendredi, le président du Groupe parlementaire UNIR, Christophe Tchao a persisté et signé que le Groupe parlementaire ANC, contrairement aux déclarations de Jean-Pierre Fabre, président de l’ANC et député à l’Assemblée nationale, avait proposé deux (2) noms, un à titre individuel et un autre pour représenter une organisation professionnelle de la presse.
Selon un député UNIR intervenant ce vendredi sur une radio locale, il s’agit respectivement de Quist Harold Crosby et de Zeus Aziadouvo dont les noms ont été proposés par écrit. Pour le président du Groupe parlementaire UNIR, le premier nom ne pouvait pas avoir l’onction de l’Assemblée nationale pour siéger au sein de l’institution de régulation des médias pour une raison simple : c’est le chargé de la communication de l’ANC.
«Nous avons estimé qu’au niveau la HAAC, il faut envoyer des professionnels qui soient au-dessus des clivages professionnels pour faire un travail professionnel», a-t-il relevé avant d’appuyer que la loi dit qu’il faut tenir compte de la représentation des partis politiques à l’Assemblée nationale et cet effort est totalement rempli par rapport aux choix faits.
Autant dire que pour M. Tchao, sur deux (2) noms proposés par le parti présidé par Jean-Pierre Fabre, un (1) a été retenu en la personne du Directeur de publication du quotidien « Liberté », Zeus Aziadouvo.... suite de l'article sur AfreePress