Le quotidien de l'ancien ministre et président de l’éphémère comité de normalisation de la Fédération togolaise de football (FTF), Horatio Freitas se résume visiblement à une peau de chagrin. Il ne semble pas digérer qu’il soit vite tombé dans l’oubli.
« Les oubliés de la République ». C’est dans cette catégorie que se place l’ancien ministre. Et il donne les raisons. « On ne veut pas me voir évoluer pour aller plus loin et plus haut. On dirait que c’est pour moi que les mots jalousie et ingratitude ont été créés ». Et déplorer sa situation actuelle. « Horacio Freitas refait partie des «oubliés de la République», comme depuis 2000 où je suis à la maison », s'est-il plaint.
Pour lui, son patronyme en est pour quelque chose. « C’est parce que nous sommes au Togo et que je m’appelle Horacio Freitas», fait-il constater. Car, à l'en croire, il aurait pu être décoré par rapport à ses services rendus au pays. « On vient de décorer plusieurs compatriotes lors de la fête de l’indépendance; qui a pensé à décorer Horacio Freitas pour services rendus comme athlète et dirigeant au sport togolais? Personne », s’indigne-t-il. ... suite de l'article sur Autre presse