Mai 2010-mai 2016, il y a de cela 6 ans, deux grands partis politiques de l’époque, le RPT au pouvoir aujourd’hui devenu UNIR, et l’UFC de Gilchrist Olympio, signait l’accord dit des braves pour un accord de gouvernement. Dans un bref bilan de cet accord chez nos confrères de Victoire Fm, qui a fait tant de mal à l’UFC, qu’à son partenaire, le député du parti au symbole du palmier rouge, Dr Sambiani Jimongou, s’est montré élogieux sur le chemin parcouru, ceci même si des départs ont plombé le parti.
Selon l’honorable Jimongou, sur le plan politique, on peut se réjouir grâce à cet accord de ce que, "tous les partis politiques se déplacent de Lomé à Cinkassé, sans être inquiétés, des leaders politiques qui dorment chez eux, ils ne dorment pas de lieu en lieu", bref, il y a une certaine accalmie sur la scène politique dans le pays. Il a cité également comme acquis à saluer, le vote du "statut de l’opposition" et la nomination du "chef de file de l’opposition".
Aussi, il a évoqué la réhabilitation de la fête du 27 avril comme une fête nationale et la suppression festive du 13 janvier qui était la date de l’assassinat du premier président du Togo, Sylvanus Olympio.
Au plan diplomatique, le responsable de l’UFC constate que "le Togo est devenu un pays fréquentable", citant l’image du Togo près des pays amis et dans les institutions internationales, et les ballets diplomatiques qui sont passés à Lomé.
Pour ce qui est de l’économie et du social, l’UFC croit savoir que la présence de son leader au Togo depuis la signature de cet accord suite à cet accord a été encourageant pour les investisseurs qui ont commencé par signer leur retour au pays et aussi, place la remise de la dette du Togo à plus de 82 % sur le dos de cet accord.... suite de l'article sur Autre presse
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