La plupart des poids-lourds qui quittent le port de Lomé pour rejoindre es pays de l’hinterland (Burkina, Niger et Mali) ne respectent pas la charge à l’essieu imposée par les pouvoirs publics.
Il s’agit de la charge maximale autorisée d'un véhicule de transport routier.
Cette exigence a deux objectifs, prévenir les accidents et éviter une dégradation des axes routiers fraîchement réhabilités.
La réglementation communautaire est entrée en vigueur, mais les intéressés font de la résistance.
Pas pour très longtemps car les pouvoirs publics ont décidé de sévir en multipliant les contrôles, en verbalisant et en saisissant les camions en cas de récidive.