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Liberté N° 2211 du 13/6/2016

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Togo : Les prix des denrées demeurent élevés au Togo malgré le fameux PNIASA
Publié le jeudi 16 juin 2016  |  Liberté


© aLome.com par Parfait
Colonel Ouro Koura Agadazi, Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de l’Hydraulique dans le Gouvernement Klassou I
Lomé, le 29 juin 2015. Parlement du Togo. Le Gouvernement Klassou I en scelle.


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Des agropoles sans maîtrise de la pluviométrie
Que reste-t-il du Programme national d’investissement agricole et de sécurité alimentaire (PNIASA) lancé en 2012? Si les prix des denrées alimentaires indispensables aux populations togolaises ne sont toujours pas influencés par ce programme et continuent d’adopter la courbe ascendante, il urge de se poser des questions sur les objectifs poursuivis par les autorités en mettant à contribution les différents bailleurs de fonds. Surtout en ces temps où le panier de la ménagère se vide, non pas du fait de la réduction des frais de la popote, mais à cause de l’inflation.
Ailleurs comme en Côte d’Ivoire, l’Etat prend des mesures pour alléger la souffrance des populations. Au Togo, on a sorti une trouvaille, l’agropole des paysans.

Dans les foyers au Togo, la tension monte et un rien suffit aux femmes pour hausser la voix. Parce qu’elles réclament une augmentation de l’argent de la popote qui ne vient pas à chaque fois. Dans les marchés, l’envolée des prix des produits est générale. Les tas de tomates et de piment vert avec les prix qui les accompagnent valent mieux que les paroles. La quantité de tomate vendue à certaines périodes de l’année à moins de 200 FCFA, se vend aujourd’hui à 1.000 FCFA. Idem pour le piment vert. Pour avoir approché une femme, nous apprenons que le bol de maïs se vend entre 600 et 650 FCFA alors qu’on est en saison des pluies. Le bol de gari est parti à 1.300 F, 1.400 F à certains endroits. Le kilo de poisson est vendu à 1.500 F et surtout, celui de la viande de bœuf coûte 2.800 F ; le kilo sans os coûte 3.000 FCFA. On ne dirait pas que c’est au Togo qu’a été lancé le PNIASA.
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