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Moratoire de 10 ans/Le ministre Johnson explique la décision du Gouvernement sur le trafic des faux-tecks
Publié le mercredi 29 juin 2016  |  Telegramme 228


© aLome.com par Parfait
Le ministre André Johnson lance un important Projet de renforcement de capacités sur le climat
Lomé, le 02 octobre 2015. Hôtel IBIS CENTRE. Atelier de lancement du Projet de renforcement des capacités institutionnelles du Togo pour la réduction des polluants atmosphériques de courte durée de vie ayant un effet sur le climat.


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Le mercredi 22 juin dernier, le gouvernement togolais réuni en Conseil des ministres a décidé d’imposer un moratoire de 10 ans sur la délivrance des autorisations pour le trafic des faux tecks à partir du Togo. Presque une semaine après cette décision, dans une précédente livraison, nous vous indiquions que les acteurs du secteur avaient pris l’initiative de s’organiser en syndicat pour reprendre langue avec le gouvernement. Hier, dans une interview accordée à nos confrères de Republicoftogo, c’est le ministre en charge de l’Environnement, André Johnson, qui a pris sur lui d’expliquer la position du gouvernement par rapport à ce trafic de faux tecks que d’aucuns jugent très juteux.

Pour le ministre Johnson, cette décision est « un des signes » de la fermeté du gouvernement. Il s’agit d’une décision qui a été suscité, selon ses explications, par le constat selon lequel, « la population vit des ressources naturelles que procurent la faune et la flore. Mais certains ont fait le choix de détruire leur environnement pour se faire de l’argent. C’est notamment le cas dans le secteur de l’exploitation du bois précieux dont la demande est très forte en Asie. Conséquence, on assiste à une dégradation des écosystèmes et à l’épuisement des ressources naturelles ».


Aussi d’après ce gardien de l’écosystème au Togo, de par le portefeuille qu’il dirige au sein du gouvernement togolais, « la déforestation anarchique constitue l’un des aspects de la criminalité environnementale à laquelle notre pays est confronté et qui nécessite des actions concrètes et urgentes parmi lesquelles figure la promotion d’une production forestière soutenue ». Il juge dès lors impératif de « créer des forêts de protection, de conservation et de production, contribuant à l’objectif de 20% de surface forestière sous gestion durable ».
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