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Un vif souvenir, au goût d’une marche inachevée
Publié le dimanche 10 juillet 2016  |  Full News


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Emmanuel Atcha
Symposium sur les acquis des 25 ans de la tenue de la Conférence nationale au Togo
Lomé, le 08 juillet 2016. AGORA SENGHOR. A l`initiative du CACIT (Collectif des Associations contre l`Impunité au Togo) et du Cabinet de Me Jean Degli, les Togolais de divers horizons ont été invités à revisiter l`histoire de la CNS (Conférence Nationale dite Souveraine) pour en dresser le bilan et les perspectives. Ce 08 juillet 2016 coïncidait avec les 25 ans jour pour jour de l`organisation de cette CNS.


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8 juillet 2016 ! Il y a 25 ans, le Togo connaissait une conférence nationale déclarée souveraine plus tard par les organisateurs. Un quart de siècle après, la société civile invite les togolais au bilan. Vendredi, jour anniversaire de ses assises, une table ronde a rassemblé à Lomé, acteurs de cette conférence et la jeunesse pour une restitution de l’histoire.

Vingt cinq années après la conférence nationale dite souveraine, quel bilan et quelles perspectives? C’est à cette question que la table ronde de ce vendredi 8 juillet 2016 (jour anniversaire de la conférence) répondait. Etaient invités, des acteurs clés de cette conférence, organisateurs et participants actifs afin de les amener à restituer à la jeune génération, l’histoire.

Me. Yaovi Agboyibo, Me. Djovi Gali, Mme. Adjamagbo-Johnson et bien d’autres ont raconté à l’auditoire leurs souvenirs. Chacun, en ce qui le concerne, a livré son analyse de cette époque de l’histoire du Togo. Pour certains, cette conférence a été un échec, d’autres en retiennent un goût d’une action inachevée et pour d’autres encore, elle a ouvert la voie à plusieurs acquis tels que la liberté de presse, d’association et le respect des droits de l’Homme…


Mais pour Me. Jean-Dégli, secrétaire général de l’organisation, il était question de revisiter l’histoire afin de tirer les leçons de ce moment de l’histoire. Un devoir de mémoire pour permettre à la jeunesse de mieux s’orienter et de posséder le sens réel donné à cette conférence ; ce qui est tout sauf l’interprétation qui en est souvent faite, c’est-à-dire : dégager le régime Eyadéma. «L’idée était plutôt de faire bouger les choses, de sortir le pays dans l’état dans lequel il était, de le mettre sur la voie de la démocratie et du respect des libertés », a précisé, Me Dégli, lui-même principal acteur de cette conférence nationale.
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