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De nouvelles révélations des Panama Papers mettent à jour la haute corruption en Afrique
Publié le mardi 26 juillet 2016  |  Agence Ecofin


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De récentes révélations du Consortium International des Journaliste, relatives aux Panama Papers, ont mis en évidence le fait que 12 des 17 entreprises, impliquées dans une enquête judiciaire conduite en Italie pour des faits de corruption sur des accords pétroliers en Algérie, ont été créés par le cabinet Mossack Fonseca.


Les détails de la procédure italienne mentionnés dans le rapport du consortium, apprennent qu’un certain Farid Bedjaoui, neveu d'un ancien ministre algérien des affaires étrangères, a tenu des rencontres secrètes avec des officiels algériens pour, selon des témoins interrogés par les juges, arranger avec eux des pots de vin d'un montant de 275 millions $, afin de permettre à la firme énergétique Saipem de remporter en Algérie des contrats de 10 milliards $.

La justice italienne fait savoir que pour acheminer ces biscuits de corruption, M. Bedjaoui, actuellement recherché par les polices internationales, avait créé une douzaine de firmes dans les paradis fiscaux avec les services de la firme Mossack Fonseca. Dans un de ses commentaires, elle a clairement exprimé qu'une de ces entreprises, Minkle Consultants S.A, est un véhicule de flux financiers illicites.


Le cas italien ne serait que la pointe visible de l'Iceberg. Au total, le consortium international des journalistes a identifié dans sa base des données des Panama Papers, 37 entreprises citées ou impliquées dans des procès pour corruption, dans l'acquisition de contrats sur des ressources en Afrique. «Des entreprises obtiennent des contrats en Afrique, soit parce que leurs dirigeants sont politiquement connectés, soit parce que leurs propriétaires ont recours à des pratiques douteuses pour obtenir des contrats», a fait savoir au consortium Fredrik Reinfeldt, l'ancien ministre suédois des affaires étrangères devenu président de l'Initiative pour la Transparence dans les industries Extractives (ITIE).
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