Le très expérimenté Head coach que le chef de l'Etat, Faure Gnassingbé, s’est tapé pour les Eperviers est un entraîneur qui coûte les yeux de la tête. La qualité a son prix, dit-on. Mais qui le paie réellement ?
Depuis le départ de Stephen Keshi qui a su trouver les mots justes pour tirer le meilleur du capitaine Emmanuel Adébayor et partenaires, les autres sélectionneurs qui se sont succédé sur le banc des Eperviers n’ont pas réussi à faire oublier le désormais feu « Big Boss ».
Certains techniciens n’ont tout simplement pas la carrure nécessaire, d’autres auraient pu faire du bon travail, mais ont été vite rattrapés par les conditions dans lesquelles ils sont arrivés.
En dehors de ce que l’on peut reprocher aux joueurs, à la Fédération togolaise de football (FTF), les observateurs notent qu’il faut trouver un coach capable de s’imposer et d’instaurer une rigueur disciplinaire dans le nid des Eperviers. Et le choix a été porté sur le Breton Claude le Roy qui signe un contrat de trois ans avec pour principal objectif la constitution d’une sélection nationale compétitive et la qualification des Eperviers pour la CAN 2019. Une éventuelle obtention du billet qualificatif de celle de l’année prochaine sonnant comme un bonus. ... suite de l'article sur Autre presse