Le départ de l’ex-ministre des finances au terme d’un remaniement technique du gouvernement de Selom Klassou est au centre des polémiques mais au plus un sujet d’émotion au sein de l’opinion d’où la question de savoir si, l’on doit s’en réjouir ou pleurer.
Au démarrant, celui qui détient la bourse n’est jamais adulé, il a souvent moins d’amis parce que chacun chercherait qu’il puisse satisfaire ses exigences mais lui doit être là pour la mesure, réguler les dépenses pour le bien de tous.
Mais le moment où le bât blesse, c’est quand l’argentier est adepte de la rigueur sélective ou pire des cas se sert lui-même et mène une vie d’opulence insolente au détriment des autres et du rôle de régulateur qu’il devrait jouer.
Les plus critiques envers Ayassor faisant référence à sa fortune ici et ailleurs soutiennent qu’il se sert lui-même au détriment de l’Etat.... suite de l'article sur Autre presse