Ce qu’on peut appeler aujourd’hui le "Wacemgate" a révélé, sans aucun doute, que les néo-esclavagistes de Wacem sont conscients de l’injustice qu’il inflige au peuple togolais. Pour cela, ils ont décidé depuis quelques années d’arroser Premiers ministres, ministres, députés de tous bords politiques d’espèces sonnantes et trébuchantes dans le but de les faire taire.
Dans l’une de nos publications le vendredi 5 Août dernier, nous avions intitulé un article : « Qui ne dit rien consent, dit l’adage ! ». Dans ce papier, nous mentionnions : « L’on compte une semaine déjà que le chef du gouvernement togolais est cité au cœur d’un scandale d’évasion fiscale. Mais le silence de l’homme de Notsè est aussi consternant qu’il finit par être révélateur d’une certaine culpabilité reconnue dans cette affaire ».
Eh bien, il ne peut en être autrement. Non seulement l’actuel Premier ministre, Selon Komi Klassou, est actionnaire à Wacem, mais il bénéficie également de la magnanimité des seigneurs de cette société qui pille les ressources du pays. ... suite de l'article sur Autre presse