Les employés de la Société nouvelle des phosphates du Togo (SNPT) ont déclenché mercredi une grève de 72 heures pour exiger une amélioration de leurs conditions de travail.
À l’appel du syndicat des mines du Togo, les ouvriers du site d’extraction de Hahatoé (environ 40 km au nord de Lomé) et de l’usine de traitement de Kpémé (40 km à l’est de Lomé) ont abandonné le travail, a appris mercredi l’AFP de source syndicale.
« Les discussions entamées depuis 2013 avec les responsables de la société autour de nos revendications en vue d’une amélioration de nos conditions de vie et de travail piétinent », a déclaré à l’AFP, Poro Egbohou, porte-parole du personnel de la SNPT.... suite de l'article sur Jeune Afrique