Le nouveau président béninois surprend par les nouvelles décisions sur lesquelles il compte engager son pays. Rupture, tel est le nom du mandat qu’il l’a porté au pouvoir.
Il donne visiblement corps à son programme en procédant à une diète dans les dépenses de l’Etat. Ce qui contraste avec la gestion de Faure Gnassingbé.
Les voyages de Faure Gnassingbé depuis qu’il a pris la tête de l’Etat togolais doivent figurer dans le livre Guinness des records. Non pas tant à cause du nombre incalculable de ses tournées à travers le monde, mais à cause de ce qu’elles engendrent comme coûts et dépenses. Les chiffres devraient donner du tournis à qui s’aventurerait à faire le compte. Les voyages se chiffreraient à des milliards. Outre la location de l’avion qui revient chère, il faut ajouter les frais occasionnés par la colonie de ministres qui accompagnent le Prince. Ces dépenses qui asphyxient une économie déjà exsangue ne s’arrêteront pas de sitôt. Elles ont de beaux jours devant elles. ... suite de l'article sur L'Alternative