Le Réseau des Journalistes Africains pour la Sécurité Maritime porté sur les fonts baptismaux

Société

Publié le mardi 16 aout 2016 | L’Eveil de la Nation

© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Lancement d`un réseau panafricain de journalistes sur la sécurité maritime au Togo
Lomé, le 12 août 2016. Hôtel EDA OBA. Lancement du réseau JASEMA (Journalistes africains pour la sécurité maritime), placé sous le patronage du ministre togolais Guy Madjé LORENZO de la Communication et de la Formation civique. Le JASEMA a pour principal objectif de vulgariser et de disséminer la thématique de la "sécurité maritime", avant, pendant et après le Sommet de l`UA d`octobre 2016 de Lomé sur cette question.

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Édition de 20H du JT du mercredi 2 septembre 2015

- 9/9/2015

Dans le dossier

Sommet Extraordinaire de l`UA sur la Sécurité et la Sûreté Maritimes et le Développement en Afrique

La question de l’insécurité maritime qui taraude les esprits des dirigeants africains ne laisse pas indifférents les journalistes africains qui ont décidé de conjuguer leurs efforts afin d’appuyer les stratégies de luttes mises sur pied par les chefs d’état et de gouvernement de l’Afrique.
C’est le Ministre de la communication, de la culture, des sports et de la formation Civique du Togo, Guy Madjé Lorenzo qui a installé officiellement le Réseau des Journalistes Africains pour la Sécurité Maritime (RéJASMA).
Dans son allocution, le Ministre a d’abord félicité chaleureusement les initiateurs de ce regroupement et leur a témoigné la reconnaissance du gouvernement pour qui, la question de l’insécurité maritime interpelle tout le monde.

Tout en dressant le bilan pas très reluisant des conséquences causées par l’insécurité dans les mers et océans, le Ministre de la communication a invité les journalistes en général et ceux du réseau en particulier à s’approprier cette lutte pour qu’enfin la mer soit un moteur de développement pour le continent Africain.

Préalablement c’est Tchagnao Arimiyao, Président du Réseau des Journalistes Africains pour la sécurité maritime qui a d’abord salué les efforts déjà consentis par les gouvernants pour lutter contre ce fléau de l’insécurité maritime et a reconnu que les actions des états y compris les différentes recommandations et chartes qui sortiront des travaux de Lomé ne pourront pas avoir leurs effets si les journalistes africains se mettent en marge. Voilà selon lui ce qui motive la création d’un réseau pour appuyer et aider à vulgariser les différentes conclusions qui seront issues du sommet de Lomé. ... suite de l'article sur L’Eveil de la Nation

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