Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Économie
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Économie

La rivalité entre la Chine et le Japon est bénéfique pour l’Afrique, selon le président de la Banque mondiale
Publié le vendredi 2 septembre 2016  |  Agence Ecofin


© Présidence de CI par DR
Dîner de travail offert par le Gouvernement du Japon sur la coopération avec les organisations économiques sous-régionales
Samedi 27 août 2016. Nairobi. Dîner de travail offert par le Gouvernement du Japon sur la coopération avec les organisations économiques sous-régionales, notamment la CEDEAO, en marge ​des travaux de la 6 ème Conférence Internationale sur le Développement de l`Afrique (TICAD - VI).


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier


Le président de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, a estimé que la rivalité entre la Chine et le Japon en Afrique constitue une «saine compétition», bénéfique pour ce continent qui a besoin de plus de 90 milliards de dollars par an d’investissements dans les infrastructures.

«Je ne crois pas qu'il y ait un manque d’opportunités pour la Chine et le Japon à la fois, en Afrique. Donc, je pense qu'il s’agit d’une saine compétition qui est très bien accueillie parce qu’elle signifie de bonnes choses pour l'Afrique», a-t-il déclaré dans un entretien publié le 1er septembre sur les colonnes du magazine économique japonais Nikkei Asian Review.

«Je pense que nous avons besoin de plus d’intérêt pour l’Afrique de la part de tous les pays. Alors si on considère qu’il s’agit d’une compétition, je pense qu’elle aboutira à de bons résultats pour toutes les parties concernées», a-t-il ajouté.

M. Kim a également fait remarquer qu’il est erroné de considérer que toutes les opportunités d’affaires en Afrique présentent des risques.

«Le rôle du groupe de la Banque mondiale est de rendre ces investissements non risqués. Cela constitue notre principal rôle lorsqu’on travaille avec des entreprises privées», a-t-il dit, citant l’exemple de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), une filiale du groupe de la banque mondiale qui offre des garanties sur les risques politiques.
... suite de l'article sur Autre presse


 Commentaires