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Infrastructures : Le tronçon Lome-Vogan-Anfoin en passe d’être réattribué à d’autres entreprises
Publié le mercredi 7 septembre 2016  |  L'Alternative




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Les dix milliards F CFA passés pour pertes et profits Il est au centre depuis plusieurs mois de toutes les polémiques tant dans la presse qu’au niveau des riverains. Il est devenu le symbole de la gouvernance de rapine de Faure Gnassingbé sur fond d’impunité. Attribué en janvier 2014 à l’entreprise CECO BTP pour un montant de 37 milliards selon une procédure gré à gré, le chantier de la route Lome-Vogan-Anfoin s’est enlisé depuis deux ans poussant la presse à s’intéresser au dossier.


Dix (10) milliards F CFA de retro commissions au profit des ministres de l’Economie et des Finances Adji Otèth Ayassor et son collègue des Infrastructures et des Transports Ninsao Gnofam, telle est la révélation fracassante faite par les confrères «Liberté» et «Le Rendez-Vous», une révélation qui leur coûte une plainte devant les Tribunaux de la part des deux grands commis de l’Etat. La fameuse plainte des deux ministres qui traîne d’ailleurs devant les Tribunaux n’a pas étouffé ce qu’il convient d’appeler le scandale de la route Lome-Vogan-Anfoin. L’abandon des travaux, les protestations des riverains et les révélations de la presse ont fini par convaincre de nombreux togolais de l’existence d’une magouille sans précédent autour de ce chantier. Face à la pression montante, le ministre des Infrastructures et des Transports pointé du doigt comme étant l’un des bénéficiaires de cette gigantesque retro Commissions a été interpellé à l’Assemblée nationale.

Son passage devant la représentation nationale a plus contribué à semer la confusion et le flou plutôt qu’à rétablir la vérité sur les faits de corruption allégués par la presse. « Des 26 milliards débloqués pour le démarrage des travaux, l’entreprise a utilisé une partie des fonds pour s’équiper », a déclaré sans aucune honte le ministre Ninsao Gnofam devant des députés hébétés avant d’ajouter que le gouvernement fera tout pour que le chantier soit bouclé avant la fin de l’année. Cette déclaration scandaleuse du ministre a rajouté à la polémique.
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