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Les journalistes doivent être protégés par les juridictions nationales africaines
Publié le lundi 12 septembre 2016  |  Eco Vision Afrik




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Les journalistes doivent être protégés par les juridictions nationales et régionales africaines. Cette thématique est au centre d’une rencontre qui réunit ce 10 septembre 2016 à Arusha en Tanzanie les professionnels des médias de 25 pays africains autour du thème “renforcer les systèmes et les Cours africaines pour protéger la sécurité des journalistes et mettre fin à l’impunité“.

Organisée par l’Organisation des nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) en collaboration avec la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP), cette session rassemble en plus des médias, des juristes, avocats et hautes personnalités africaines dont Faith Pansy TLAKULA, Commissaire, Présidente et rapporteur spécial sur la liberté d’expression et l’accès à l’information de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples.

La jurisprudence africaine et les standards internationaux, la capacité des acteurs judiciaires au niveau national, le protocole et la déclaration de la Cour africaine sont entre autres thèmes qui seront débattus.

Cette rencontre ce tient en prélude de la «Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes» célébrée le 2 novembre de chaque année.

En 2013, lors de sa 68ème session, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la résolution A/RES/68/163 qui a proclamé le 2 novembre Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes. Cette résolution a exhorté les États Membres à prendre des mesures précises pour combattre la culture actuelle d’impunité. La date a été choisie en mémoire de l’assassinat de deux journalistes français au Mali le 2 novembre 2013.
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