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RDC: la délégation de l’opposition suspend sa participation au dialogue
Publié le mardi 13 septembre 2016  |  RFI


© aLome.com par Parfait
Edem Kodjo présente au grand public la réédition de son célèbre ouvrage «…Et demain l’Afrique».
Lomé, le 30 mars, EDA OBA HOTEL, Salle Orange. Publié en 1985 aux Editions Stock (filiale de Hachette, Paris, France) par Edem Kodjo, «…Et demain l’Afrique», essai de 421 pages, fresque littéraire évoquant la mue incontournable sous diverses coutures que doit connaître le continent noir pour son nécessaire développement, vient d’être réédité par «NEI CEDA Editions» (Côte d’Ivoire).


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En RDC, la délégation de l’opposition vient de suspendre sa participation au dialogue national, ce dialogue voulu par le président Joseph Kabila pour préparer les futures élections. Une annonce qui n’est pas une surprise au vu des positions des uns et des autres.

C’est le chef de la délégation Vital Kamerhe qui l’a annoncé à la sortie d’une commission très tendue. La commission élection doit discuter du calendrier électoral et du fichier électoral, les deux questions épineuses de ce dialogue.

La délégation de l’opposition avait prévenu qu’il y avait des lignes rouges à ne pas franchir, notamment que la présidentielle et les législatives doivent être organisées en premier lieu. On sait que la majorité a une opinion différente et estime qu’il faut d’abord que ce soit les élections locales qui soient organisées, qu’il s’agit là d’un arriéré et qu’il ne faut pas abandonner ces élections.

Appel à la communauté internationale

Pour Vital Kamerhe, le président de l’UNC et chef de cette délégation de l’opposition, la responsabilité de ne pas avoir organisé les élections est imputable au gouvernement. En l’occurrence, la résolution 22-77 prévoyait une priorité donnée à la présidentielle et aux législatives, et il faut donc que la communauté internationale fasse respecter les textes qui sont les cadres de ce dialogue, à savoir la Constitution, la résolution 22-77 et la charte de l’Union africaine.
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