Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a juré de faire la lumière sur la mort de son lointain prédécesseur, le 18 septembre 1961, à la frontière entre le Congo et l’actuelle Zambie. Simple crash d’avion ou attentat téléguidé par les Occidentaux ?
Avant de quitter ses fonctions à la fin de cette année, Ban Ki-moon s’apprête à livrer un dernier combat : obtenir enfin que soit dite la vérité – ou, à tout le moins, toute la vérité possible – sur la mort, il y a cinquante-cinq ans, de l’un de ses lointains prédécesseurs au poste de secrétaire général de l’ONU, le Suédois Dag Hammarskjöld.
Un mystère à élucider
Dans une note interne de cinq pages datée du 17 août et rédigée avec le vice-secrétaire général, Jan Eliasson, le diplomate sud-coréen annonce qu’il demandera à l’Assemblée générale des Nations unies, qui s’ouvre ce 13 septembre, de nommer « une personnalité éminente » chargée d’examiner de nouveaux documents relatifs au crash mystérieux du DC-6 Albertina, dans la nuit du 17 au 18 septembre 1961, non loin de l’aéroport de Ndola, à la frontière entre le Congo et ce qui s’appelait alors la Rhodésie du Nord, l’actuelle Zambie.... suite de l'article sur Jeune Afrique