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Le Parti des Togolais parle aux femmes de leur rôle citoyen
Publié le mercredi 12 octobre 2016  |  AfreePress


© aLome.com par Lakente Bankhead
Alberto Olympio, leader du PT, continue sa dẻcouverte des principales couches de la population togolaise, dans l`optique de sa candidature annoncẻe pour la prẻsidentielle de 2015.
Lomẻ, le 13 dẻcembre 2014, au Centre CERFER: devant un public jeune et estudiantin, ALBERTO OLYMPIO évoque la vision du Togo qu’il promeut.


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Le Parti des Togolais a poursuivi ce mardi à son siège son programme de formation à l’endroit des populations en mettant au centre des débats le thème : «Le rôle de la femme dans l’action citoyenne au Togo».

Plusieurs partis politiques de l’opposition togolaise, notamment l’Alliance des démocrates pour le développement intégral (ADDI), Les Démocrates, le Mouvement citoyen pour la démocratie et le développement (MCD) et certaines organisations de la société civile comme le Mouvement génération Togo, ont délégué des représentants à cette formation qui s’est adressée aux femmes du parti organisateurs, a constaté l’Agence de presse Afreepress.

Selon le Délégué national aux affaires intérieures du Parti des Togolais, Gnimdéwa Atakpama, le choix de ce thème est parti de la question : qu’est-ce qui en lumière le rôle citoyen de la femme au Togo et commet arriver à raviver la flamme chez les femmes ?

«Nous avons vu que le monument de l’indépendance est mieux indiqué pour témoigner du rôle citoyen de la femme au Togo », a-t-il indiqué.

Outre son importance artistique, a-t-il poursuivi, l’histoire togolaise rend compte que le rôle citoyen de la femme au Togo a commencé en 1933. « En réaction à la crise économique de 1929, l’administration coloniale avait augmenté l’impôt et diversifié les taxes. La population n’arrivait pas à s’en sortir, les notables aussi ne jouaient plus leur rôle. Un mouvement a émergé du nom de Duawo. A Tonyeviadzi, on rassemblait les femmes pour leur expliquer la situation. L’administration coloniale pour réagir, a fait arrêter des meneurs », a-t-il relevé.

Un rassemblement spontané des femmes est né et a pris d’assaut le palais du gouverneur qui a dû libérer les prétendus meneurs.
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