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Carlos Lopes interpelle les pays africains à Lomé
Publié le jeudi 13 octobre 2016  |  AfreePress


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Panel des Side Events consacré à la "Lutte contre la piraterie maritime et autres trafics"
Lomé, le 11 octobre 2016. Site des Side Events. Panel 2 de la thématique "Lutte contre la piraterie maritime et autres trafics". Débat autour de la sous-thématique "Trafics illicites par voies maritimes" présentée par G. Sernia (chargé de Programme à l`Office des Nations Unies en charge des Drogues et des Crimes, UNODC). Une session qui a connu la participation du chef de la diplomatie togolaise, Robert Dussey.


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Le Secrétaire général adjoint de l’Organisation des Nations Unies (ONU) et Secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique (CEA), Carlos Lopes à Lomé pour le Sommet extraordinaire de l’Union africaine (UA) sur la Sécurité et la sûreté maritimes et le développement en Afrique, a rencontré les Chefs d’agences du Système des Nations Unies (SNU) au Togo. C’est ce qu’a appris l’Agence de presse Afreepress du Bureau du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) à Lomé.

Au cours de cette rencontre avec les treize (13) chefs d’agence des Nations Unies, une réunion présidée par Khardiata Lo Ndiaye, Représentante résidente du PNUD et Coordinatrice du SNU au Togo, le représentant de Ban Ki-Moon a déclaré que parmi les défis auxquels le continent africain doit faire face et trouver des alternatives pour les prochaines années, se trouve l’Aide publique au développement (APD).

Pour étayer son idée, le Secrétaire exécutif de la CEA a d'abord dressé le tableau économique des pays africains : alors que 65% des exportations des pays africains sont constituées de matières premières non transformées et 80% des dépenses des Etats sont issues des recettes d’exportations, le prix des matières premières a chuté au cours des dernières années. Parallèlement, a-t-il poursuivi, le marché interne porte les 2/3 de la croissance qui ne se reflète pas dans les recettes des Etats et le taux de fiscalité en Afrique est de 16% contre 33% pour la moyenne mondiale.
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