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Résolution de la Crise au CAR par la réunion du 22 Octobre 2016/Kohan Binafam dénonce le coup d’Etat ourdi par Agboyibo
Publié le samedi 22 octobre 2016  |  Telegramme 228


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Emmanuel Atcha
Symposium sur les acquis des 25 ans de la tenue de la Conférence nationale au Togo
Lomé, le 08 juillet 2016. AGORA SENGHOR. A l`initiative du CACIT (Collectif des Associations contre l`Impunité au Togo) et du Cabinet de Me Jean Degli, les Togolais de divers horizons ont été invités à revisiter l`histoire de la CNS (Conférence Nationale dite Souveraine) pour en dresser le bilan et les perspectives. Ce 08 juillet 2016 coïncidait avec les 25 ans jour pour jour de l`organisation de cette CNS.


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Alors que l’une des parties en conflit, surtout des présidents de fédérations acquis à la cause du président d’honneur et fondateur du CAR (Comité d’Action pour le Renouveau), a annoncé une réunion en vue de l’institution d’un bureau de la transition, demain samedi 22 Octobre, d’autres membres du bureau national du parti, dont le mandat serait arrivé à terme depuis la nuit du 17 Octobre dernier, n’entendent pas croiser les bras.


C’est ainsi, qu’après qu’un pro Agboyibo a accusé le président national, Me Dodji Apévon d’être financé par une main noire qui entend voire disparaitre le CAR, et raison donc pour laquelle il fait perdurer la crise, un membre du bureau que l’on annonce au terme de son mandat, Kohan Binafam, en charge de la communication a dénoncé ce jour chez nos confrères de Victoire fm, le coup d’Etat ourdi par Agboyibo.

«Ce qui se passe au CAR est la conséquence d’un coup d’Etat ourdi par Agboyibo » pour reprendre la direction du parti, accuse Kohan Binafam. Par des arguments avec certains éléments à l’appui, il a tenté de faire constater que c’est par ce que le coup d’Etat a échoué, qu’il s’est mué « en rébellion contre le président national ».

Il n’a pas du tout apprécié le fait qu’ils soient considérés, eux les membres du bureau national comme des gens travaillant dans l’entreprise de quelqu’un qui décide de leur sort quand il le souhaiterait.

Contrairement à ceux qui veulent charger Me Apévon comme étant le seul coupable de ce qu’il n’y ait pas eu de Congrès avant la date du 17 Octobre, il a souhaité faire la part des chose en indiquant que « moralement, nous tous nous sommes coupables s’il n’y a pas eu congrès ».
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