De quoi sera fait l’année scolaire 2016-2017 au niveau de l’enseignement confessionnel ? C’est la grande interrogation suite à la sortie effectuée ce mercredi par le COSEPLAC (Collectif des syndicats des enseignants privés laïcs confessionnels), assisté par SADD (Solidarité Action pour le Développement Durable).
En tout cas pour les responsables de ce collectif qui était face à la presse, le but principal est de secouer un peu leurs employeurs en rappelant à leur conscience et aussi de l’Etat la dégradation de la situation des enseignants du confessionnel qui pour bon nombre sont payés entre 7.000 F cfa et 30.000 F cfa ou encore traités loin de la convention collective interprofessionnelle (ou sectorielle).
Mécontents de leur situation, les membres du COSEPLAC n’excluent pas la possibilité d’aller à un bras de fer s’ils y sont condamnés. « S’il va falloir arriver au bras de fer, il va y en avoir », a laissé entendre le porte-parole du COSEPLAC, Vissikou Senouvo. Il justifie cette évidence par le fait que la situation « des travailleurs de l’Enseignement privé, ceux des Enseignements confessionnels (catholique et protestants) continuent leurs descente vers les abysses ».
Ils on dénoncé « la nébuleuse qui entoure leurs revendications » et réclamé « qu’il soit mis en place un cadre clair de discussion », pour qu’ils puissent disposer des réponses claires à leurs préoccupations. Ils sont dès lors revenus sur les difficultés rencontrées par l’ensemble des enseignants du confessionnel surtout pour la détermination de leur statut, surtout vis-à-vis de leur employeurs qui selon que ça arrange, est l’autorité religieuse, ou l’Etat.... suite de l'article sur Autre presse
![](http://news.aLome.com/img_photos/M/justice2.jpg")
.jpg)