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Diego Aponte : «L’Afrique, c’est l’histoire de ma famille»
Publié le lundi 21 novembre 2016  |  Jeune Afrique


© aLome.com par Parfait
Port autonome de Lomé un jour ouvrable
Lomé, le 29 septembre 2015. Zone portuaire de la principale ville de la République togolaise.


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Le président de MSC a fait du port de Lomé le centre de sa stratégie dans le golfe de Guinée. Un pari innovant pour l’Afrique, qui permet au géant maritime de rattraper ses concurrents.


Dans le monde du transport maritime,reste un groupe bien à part. D’abord parce que son fondateur, le Napolitain Gianluigi Aponte, fut capitaine avant de fonder le numéro deux mondial actuel du transport de conteneurs. Ensuite parce que cette origine lui a conféré une culture originale, toujours en vogue chez MSC : un certain culte du secret et de la discrétion, quand ses principaux concurrents – le danois Maersk (coté en Bourse) et le français CMA-CGM – sont exposés à toutes les pressions médiatiques.



Dans un secteur aussi concurrentiel, est-ce réellement un handicap ? En Afrique, le cas MSC est encore plus intéressant. Relégué jusqu’à récemment loin derrière ses deux principaux compétiteurs, le groupe italo- (par l’origine) suisse (par le siège social) semble en passe de remporter son extraordinaire pari : rattraper les leaders en réalisant d’énormes investissements sur un hub principal, Lomé, et en y envoyant les plus gros bateaux jamais vus dans le golfe de Guinée. Depuis le discret siège genevois du groupe, Diego Aponte, fils du fondateur et président de MSC depuis 2014, a donné à Jeune Afrique l’une des rares interviews qu’il ait jamais accordées.


Jeune Afrique : Pourquoi êtes-vous venu si tard sur le continent ?

Diego Aponte : Si nous avons démarré après les autres en Afrique, c’est pour une question de priorités. Nous ne pouvions être partout. Nous sommes partis de rien pour devenir une compagnie spécialisée dans les vracs jusqu’au milieu des années 1980. Nous avons alors décidé de convertir notre flotte entière pour transporter du conteneur. Mais, une fois entrés sur ce marché, nous avons commencé à travailler vers l’Amérique du Nord, puis l’Asie.
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