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Adoption du collectif budgétaire
Publié le vendredi 25 novembre 2016  |  Republicoftogo


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait
Séance de questions orales au Gouvernement au Parlement sur le WACEMGATE
Lomé, le 10 novembre 2016. Parlement togolais. Les ministres SANI YAYA, Marc ABLY-BIDAMON et Bernadette LEGZIM-BALOUKI devant les parlementaires pour donner des informations officielles sur le WACEMGATE.


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Les députés ont adopté jeudi le collectif budgétaire.

La loi de finances rectificative est destinée à modifier le plafond des dépenses du budget de l’État et les données générales de l’équilibre budgétaire en fonction des impératifs et surtout des variations des recettes.

Le collectif qui s’équilibre en recettes et en dépenses à 1.154,52 milliards fait suite à l’encaissement de recettes additionnelles, notamment le Sukuk* Etat du Togo 2016-2026 ainsi que des nouveaux projets financés sur ressources externes notamment sous forme d’emprunts et de dons.

Les recettes connaissent une augmentation de 188,2 milliards de francs, soit 19,5% de la prévision initiale, tandis que les dépenses enregistrent une hausse de 148,7 milliards de francs, + 14,8%.

La révision de la loi de finances initiale a été rendue nécessaire pour permettre de prendre en compte les dépenses sociales additionnelles et de résorber le déficit budgétaire initial qui s’élevait à 39,4 milliards de francs, a indiqué Sani Yaya, le ministre de l’Economie et des Finances.

Il a également précisé qu’une large part des recettes additionnelles serait consacrée à l’apurement des arriérés de la dette intérieure. Un choix qui permet de donner une nouvelle impulsion à l’économie nationale et d’accompagner l’essor du secteur privé.

* Le terme 'Sukuk' est l’équivalent islamique des obligations. Cependant, contrairement aux obligations conventionnelles, qui confèrent simplement la propriété d’une dette, le Sukuk accorde à l’investisseur une part d’un actif, ainsi que des flux de trésorerie et des risques proportionnés. En tant que tels, les titres Sukuk respectent les lois islamiques parfois appelées principes de la Charia, qui interdisent la facturation ou le paiement d’intérêts.
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