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Décentralisation au Togo/Les locales probablement en 2018: Wala Kperkouma de l’ADDI appelle à «redoubler de vigilance pour un contrôle citoyen»
Publié le lundi 12 decembre 2016  |  Telegramme 228


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Sortie de l`ADDI dans le affaire PANAMA PAPERS
Lomé, le 1er août 2016. Quartier Gbossimé. Conférence de presse du parti ADDI. L’Alliance des démocrates pour le développement intégral (ADDI), dans le cadre de l`implication présumée de la société WACEM dans le scandale des PANAMA PAPERS, réclame la mise en place d’une Commission d’enquête parlementaire pour faire la lumière sur cette accusation.


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Depuis hier jeudi, l’atelier national sur la décentralisation initiée par le ministère en charge de la Décentralisation a connu son épilogue. Si tous les acteurs sont convaincus de la nécessité de l’organisation des élections locales et de la décentralisation du Togo, certains ne croient toujours pas à la bonne foi du gouvernement et partant du pouvoir en place à respecter les recommandations de cet atelier par rapport à ces élections locales situées en 2018.


C’est visiblement le cas de Wala Kperkouma, membre du bureau politique de l’ADDI (Alliance des Démocrates pour le Développement Intégral) qui en appelle à la vigilance des acteurs.
Dans une analyse personnelle de la situation, il a indiqué que « Chat échaudé craint l’eau froide. Ceci pour rappeler à l’opinion l’ambiance des débats à l’atelier du HCRRUN et les mirobolantes conclusions dudit atelier et depuis rien à l’horizon ».

«Cette comparaison pour nous demander de redoubler de vigilance et surtout de nous mobiliser pour un contrôle citoyen de la mise en œuvre des différentes phases du processus. Sans un contrôle citoyen et un lobbying fort je reste convaincu que ces recommandations risquent de subir le sort d’autres de part le passé », a-t-il poursuivi.

Aussi croit-il qu’ « il revient à la jeunesse de s’engager véritablement dans le contrôle citoyen de ce processus. Les différents mouvements de jeunes, les partis politiques, la société civile doivent insuffler une campagne de sensibilisation pour l’appropriation sociale de la décentralisation par toutes les couches et tous les terroirs de notre pays ».


Revenant sur les travaux, il fait constater que ce sont trois jours de travail, d’échanges fructueux ont été consacrés à la question de la décentralisation. M. Wala tire comme points positifs de cette rencontre, « l’engagement à faire participer tous les acteurs dans les cadres de pilotage, de suivi ainsi que la définition d’une projection temporelle » ; « Le cadre de pilotage réuni les acteurs politiques, de la société civile, des PTF et est tenu de se réunir tous les deux ou trois pour analyser l’évolution du processus » ; « Le cadre de suivi et l’équipe technique sont chargés de préparer les outils nécessaires pour compléter et renforcer les instruments juridiques, logistiques et techniques existant » ; et, La projection temporelle pour la tenue effective des élections locales ; selon les explications du ministre, sur évaluation de la CENI, les tâches indispensables à faire avant la tenue des élections locales peuvent s’échelonner sur 15 mois. D’où la possibilité de tenir les locales d’ici 15 à 18 mois au plus tard ».
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Position constante de l’UNIR sur la décentralisation défendue par Florent MANGANAWE
Publié le: 10/12/2016  | 


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