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‘‘De Bujumbura à Alep: que reste-t-il de la responsabilité de protéger?’’, thème d’une table-ronde du Centre de droit public de l’UL en collaboration avec l’Union européenne
Publié le mardi 13 decembre 2016  |  Université de Lomé


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
17e session du dialogue politique UE-Togo: Décentralisation et élections locales au cœur des échanges
Lomé, le 12 décembre 2016. Ministère des Affaires Étrangères, de la Coopération & de l`Intégration africaine. 17ème session du dialogue politique entre le Gouvernement togolais et l`Union Européenne (UE), conformément à l`article 8 de l’Accord de partenariat ACP-UE, signé à Cotonou le 23 juin 2000. Cette rencontre a fait le tour d`horizon des principaux sujets au coeur de la relation entre les deux parties. Nicolas Berlanga-Martinez, Chef de la diplomatie européenne en République du Togo.


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Dans la lignée des différentes manifestations pour la célébration de la Journée Internationale des Droits de l’Homme, le Centre de Droit Public (CDP) de l’Université de Lomé a organisé en collaboration avec l’Union Européenne une table-ronde sur le thème ‘‘De Bujumbura à Alep : que reste-t-il de la responsabilité de protéger ?’’.

La manifestation ouverte par le Président de l’Université de Lomé, Pr Dodzi Komla KOKOROKO, après une brève introduction de S.E.M l’Ambassadeur, Chef de Délégation de l’Union Européenne au Togo, Nicolas BERLANGA-MARTINEZ, s’est tenue le lundi 12 décembre à la salle de conférence de l’Institut Confucius de l’UL.


Mots introductifs, ‘‘réflexion naïve’’…

Pour Pr Dodzi Komla KOKOROKO, le Droit international humanitaire oscille entre deux pôles, l’un humanitaire et l’autre empreint de souveraineté. Il faudrait alors pouvoir arriver à les concilier autant
que possible au service de l’humanité. Seulement, la notion elle-même semble doublement viciée : vice originaire, résultat de certaines conceptions jamais coulées dans le droit humanitaire lui-même et vice conceptuelle, le droit de non-ingérence n’ayant jamais prospéré. Il propose alors que le concept ne soit ni un droit, ni un devoir afin de pouvoir ratisser large.


La situation en Gambie, que peut et doit faire la Communauté internationale ? L’indifférence des débiteurs, le cas de la Syrie ou du Burundi, ou faut-il confier à un Etat ‘‘voyou’’ d’assurer la sécurité de ses citoyens ? Que penser du Droit de véto de la Russie ? La solution réside-t-elle dans la responsabilité de protéger ? Non. Et elle appelle débat.
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