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Économie

Les accaparements de terres coûtent à l’Afrique son développement économique, selon le Pr Samir Amin
Publié le vendredi 16 decembre 2016  |  Agence Ecofin


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Echanges croisés entre journalistes et communicateurs ouest-africains autour du phénomène de la dégradation des terres
Lomé, du 3 au 7 octobre 2016. Hôtel IBIS. Atelier sous-régional de renforcement des capacités des hommes et femmes de média et de communicateurs sur la thématique de Gestion Durable des Terres et des Eaux (GDTE) dans les pays SAWAP (Programme de la Banque Mondiale/FEM pour le Sahel et l’Afrique de l’Ouest -Sahel and West Africa Programme-). Atelier pratique s`inscrivant dans le cadre de la mise en oeuvre du BRICKS (Projet de Renforcement de la résilience par le biais de services liés à l’innovation, à la communication et aux connaissances) par le CILSS, l`OSS et l`UICN-PACO.


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En marge d’un symposium organisé à Dakar, le Professeur Samir Amin a déclaré que l’accaparement des terres participe en grande partie au retard dans le développement économique des pays africains.

Dénonçant une forme de mondialisation qui défavorise les « petites » économies, l’universitaire franco-égyptien a rappelé que le salut du continent africain passe par un retour à l’agriculture paysanne qu’accompagneront de solides réformes foncières.

« La ligne générale du développement du capitalisme à travers l’histoire est fondée sur l’expropriation de la majorité de la paysannerie et donc entraînant, entre autres, une émigration des campagnes vers les villes ou vers l’étranger ou les deux en même temps. Cette ligne de développement proposée par la Banque mondiale, l’Union européenne, par tout le monde, est une voie sans issue parce qu’une désagrégation de la paysannerie africaine ne peut donner à la planète que des bidonvilles », a expliqué, catégorique, le directeur du Forum du Tiers-monde et président du Forum mondial des alternatives.
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