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Crise dans le secteur de l’éducation : Encore 4 jours de grève de mécontentement
Publié le lundi 19 decembre 2016  |  AfreePress


© aLome.com par Edem Gadegbeku et Parfait
AG d`enseignants togolais dans la capitale, Lomé
Lomé, le 09 décembre 2016. Centre communautaire de Tokoin. Des syndicats d`enseignants du primaire et du secondaire en conclave pour plancher sur leurs revendications de l`heure.


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Face aux annonces verbales musclées des ministres Gilbert Bawara et Pr Komi Paalamwé Tchakpélé, respectivement en charge de la Fonction publique et des Enseignements primaire et secondaire, le 14 décembre dernier sur la télévision nationale (TVT), la Coordination des syndicats de l’éducation du Togo (CSET) décide de durcir le ton.


Pour prouver aux deux (2) ministres que la situation qui prévaut dans le secteur de l’éducation depuis quelques semaines ne saurait être réglée avec l’intimidation des enseignants, les quatre (4) syndicats réunis au sein de la CSET appellent les enseignants à observer un mot d’ordre de grève de mécontentement de 96 heures, soit quatre (4) jours à compter de ce mardi.

Selon les grévistes, si la situation ne change toujours pas, les enseignants seront obligés d’user du moyen de grève après les congés de Noël et de nouvel An. Un courrier a même été adressé le 16 décembre dernier par la CSET aux deux (2) ministres.

Ce document fait également état d’intimidations des chefs d’établissement, des inspecteurs, des directeurs régionaux et des préfets à l’endroit des enseignants, ce qui ne plaît pas aux enseignants grévistes.

Ce mot d’ordre de grève de quatre (4) jours a été lancé alors même que les Assemblées générales des enseignants dans plusieurs villes du Togo, selon les informations, n’ont pas pu avoir lieu.

Le durcissement de ton de la part des enseignants, il faut le signaler, est né à la suite de l’intervention des ministres Gilbert Bawara et Pr Komi Paalamwé Tchakpélé qui ont qualifié les syndicats d’enseignants grévistes de « groupe d’individus » et annoncé clairement que le gouvernement n’ouvrira pas un cadre de dialogue bis avec ces enseignants alors que les problèmes de ce secteur sont déjà pris en compte dans le Cadre permanent de concertation (CPC).
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