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Développement à la base : 73 jeunes déscolarisés démarrent un nouveau projet
Publié le mercredi 21 decembre 2016  |  AfreePress


© aLome.com par Parfait
Victoire T. Dogbé, Directrice de Cabinet de Faure Gnassingbé et ministre.


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Le projet « mise en apprentissage des jeunes déscolarisés » a été officiellement lancé ce mardi à la maison des jeunes d’Amadahomé (banlieue au nord-est de Lomé) par la ministre du Développement à la base, de l’artisanat, de la jeunesse et de l’emploi des jeunes, Mme Victoire Tomégah-Dogbé suivi de la signature des conventions d’apprentissage avec les maîtres artisans au profit de jeunes togolais, a constaté un reporter de l’Agence de presse Afreepress.


La cérémonie s’est déroulée en présence du Représentant du Conseil permanent des chambres de métiers du Togo, M. Koffi Dzakas, du Directeur de l’Agence nationale du volontariat au Togo (ANVT), M. Omar Agbangba, et des chefs traditionnels.

Ils sont au total soixante-treize (73) jeunes déscolarisés dont trente-sept garçons et trente-six (36) filles.

Durant quatre (4) ans, le projet vise à ouvrir une porte pour les jeunes en leur permettant d’accéder aux métiers pour préparer aisément leur avenir après leur mission de volontariat citoyen (JDS).

«Sur instruction du chef de l’Etat, nous avons lancé un nouveau volet de volontariat qui porte sur des jeunes déscolarisés et non scolarisés. Il s’agit de l’engagement citoyen des jeunes qui sont nombreux dans nos quartiers et villes qui ont également envie de participer au développement de notre communauté. C’est un projet que nous avons lancé en début d’année », a rappelé Mme Tomégah-Dogbé.

Aujourd’hui, selon elle, il a été procédé à la signature des conventions d’apprentissage pour certains jeunes qui n’ont pas eu la chance, faute de moyens, d’apprendre un métier dans leur vie.

«Le projet JDS touche les jeunes des quartiers, une catégorie de jeunes qui ont forcément appris un métier et qui n’ont pas les moyens d’ouvrir un atelier de leur activité. C’est l’Etat qui prend en charge les frais d’apprentissage de ces jeunes qui varient de 60.000 à 150.000 francs CFA par an selon l’école de métier et l’Etat veille à ce que nos jeunes qui sont mis en apprentissage reçoivent une allocation de subsistance. Nous savons que les jeunes, faute de moyens, abandonnent parce qu’ils n’ont pas de quoi manger », a-t-elle indiqué.
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