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Agbeyome s’engage pour un Togo de paix et de prospérité partagée en 2017
Publié le vendredi 23 decembre 2016  |  Togo breaking news


© aLome.com par Lakente Bankhead
Agbéyomé Kodjo ne sera pas candidat à la présidentielle 2015
Lomé, le 31 janvier 2015. Hȏtel Sancta Maria. Investi comme Président de la formation politique OBUTS (Organisation pour Bâtir dans l`Union un Togo Solidaire) à l’issue d’un congrès de deux jours, Agbéyomé Kodjo a indiqué samedi qu`il ne sera pas candidat à la présidentielle de cette année. L`ancien premier ministre a justifié son choix par la multiplicité des candidatures au sein de l’opposition.


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Agbeyome Kodjo a adressé vendredi un message de vœux aux togolais et à ses militants à l’orée de Noël et du Nouvel an. Le Président de l’Organisation pour bâtir dans l’Union un Togo Solidaire (OBUTS) est revenu sur les évènements marquants de l’année 2016 et fait quelques préconisations aux autorités togolaises concernant les réformes politiques, la décentralisation, la crise du secteur éducatif et l’Office togolais des recettes (OTR).

Agbeyome Kodjo salue dans son message, la tenue à Lomé le 15 octobre dernier, du sommet sur la sécurité maritime et le développement en Afrique qui a abouti à l’adoption d’une charte contraignante pour la protection des mers et océans. Il se félicite du démarrage de la mise en œuvre du Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC).

"Il y a matière à se réjouir de la formalisation d’un instrument dédié à la lutte contre la pauvreté, à assurer l’égale dignité des citoyens, et à faire justice aux populations de nos villages et hameaux privés de l’accessibilité aux biens publics primaires, indispensables à leur plein épanouissement, et au développement de leur milieu social", a-t-il dit.


Réformes politiques et processus de décentralisation

Evoquant la question de la modernisation de la vie politique du Togo, M. Kodjo salue l’atelier organisé au mois de juillet par le HCRRUN et dont les préconisations et propositions visent la consolidation du cheminement démocratique pour une meilleure gouvernance des affaires publiques.

"Dès lors il urge que des mesures soient prises avec célérité pour matérialiser les conclusions de cet atelier afin de ne pas donner raison à ceux qui estimaient qu’il s’agirait d’un marché de dupe, et donc une aventure sans lendemain", conseille le parton d’OBUTS.

L’ancien Premier Ministre togolais, évoque également la question de la décentralisation avec l’atelier organisé en début décembre.

"Les perspectives qui se dégagent à l’issue des travaux de l’Atelier sur la décentralisation, laissent apparaître la faisabilité d’élections locales dans un délai raisonnable afin de faire émerger au Togo, des dynamiques collectivités territoriales décentralisées, viables et compétitives, vecteurs de développement à l’échelon de toutes les collectivités territoriales, au bénéfice de tous", fait-il remarquer.

L’OTR et sa méthode de mobilisation des recettes... questionnés

Agbéyomé Kodjo, expert de la chose économique et du haut de son expérience d’homme d’Etat évoque également la démarche visant de l’OTR à l’optimisation de la mobilisation des ressources. Pour lui, la méthode de l’office souffre de souplesse et risque de produire des effets pervers aux dépens de l’économie nationale.

"Les pouvoirs publics doivent s’atteler à dissiper les inquiétudes et imaginer toute solution appropriée qu’appelle le souci de l’intérêt national. La formation politique OBUTS exhorte le gouvernement à restructurer l’action de cette institution pour sa plus grande efficacité et pour limiter les dégâts collatéraux de sa mission", a-t-il dit.

L’ancien Premier ministre se prononce également sur la crise dans le secteur éducatif et pense que l’éducation nationale et la formation professionnelle doivent rester et demeurer la préoccupation première des pouvoirs publics. Pour une bonne transmission du savoir, il suggère que les acteurs soient sacralisés.

A ce sujet, OBUTS propose la constitution d’une commission nationale élargie à tous les acteurs du système éducatif pour réfléchir sur les problèmes liés à l’éducation nationale et à l’adéquation entre formation et emploi.
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