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Les 5 événements 2016 les plus importants pour les économies africaines
Publié le lundi 2 janvier 2017  |  Agence Ecofin


© Présidence de CI par DR
Ouverture du 50e sommet ordinaire de la CEDEAO
Samedi 17 décembre 2016. Abuja (Nigéria). Ouverture du 50e sommet ordinaire de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO)


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Comme chaque fin d’année, l’équipe de l’agence Ecofin a sélectionné les événements qui auront, de son point de vue, le plus d’impacts sur les économies africaines. Chacun a voté et, au décompte des points, voici les informations majeures qui se sont détachées.


1) Les accords d'Alger et de Vienne amorcent une remontée du prix du baril


On n’avait pas vu ça depuis 2002. Les pays producteurs de pétrole, membres de l’OPEP ou non, se sont entendus, ce 10 décembre, pour réduire la production mondiale d’or noir. Deux semaines plus tard, le prix du baril atteignait son plus haut de l’année à 56 $.

Les experts s’accordent à pronostiquer un baril au-dessus de 60 $ en 2017. Plusieurs pays africains devraient retrouver un peu d’oxygène, notamment le Nigeria et l’Angola dont les économies ont subi de sérieux dommages. Les pays de la CEMAC pourront également renouer avec une meilleure croissance en 2017. Reste à espérer que les mesures de diversification, prises en urgence sous la pression des événements, seront poursuivies avec le même entrain.


2) En recession, le Nigeria ne sera pas resté longtemps la première économie d’Afrique


«Le Nigeria est soudainement devenu un pays pauvre ! » s’est désolé Muhammudu Buhari, le président du pays qui fut, durant seulement deux années, la première économie d’Afrique.

L’interminable lutte contre Boko Haram, la chute des recettes pétrolières, les rébellions dans le Delta du Niger, une dette cachée de 7 milliards de dollars et la note salée que l’administration corrompue de Goodluck Jonathan a laissé à son successeur, ont mis à genoux le pays le plus peuplé d’Afrique. Le redressement sera long, mais cette crise aura tout de même permis au pays de s’intéresser davantage à son énorme potentiel agricole.
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