Bien que qualifiés pour la CAN 2010, les Eperviers n’aient pas pu participer à la compétition panafricaine. Le 8 janvier de cette année, les bus des Eperviers ont été la cible des rebelles du Front de libération de l’enclave de Cabinda (FLEC). Le bilan est lourd.
Cet attentat dont les contours restent toujours flous, a fait plusieurs blessés graves et deux morts (le journaliste Stan Ocloo et l’entraîneur adjoint Amélété Abalo). Sept ans après ce tragique évènement, les familles des victimes réclament que justice soit faite.
Les proches des victimes sont révoltés de la suite réservée à cet horrible attentat. Ils fustigent le « silence de cathédrale » qui règne aujourd’hui et s’en prennent aux autorités togolaises et angolaises, à la CAF, à la FIFA, au Tribunal arbitral de Sport (TAS). Le capitaine des Eperviers est aussi pointé du doigt. ... suite de l'article sur Autre presse