Par moment troublé, Barack Obama a exhorté mardi soir depuis Chicago les Américains à être des acteurs du processus démocratique alors qu'il s'apprête à céder la place à Donald Trump le 20 janvier.
Sous un tonnerre d’applaudissements, Barack Obama a conclu son discours d’adieu, dans la soirée du mardi 10 janvier, par un « Yes we did » (Oui, nous l’avons fait », allusion à son célébrissime slogan de campagne « Yes we can ».
«La démocratie peut flancher lorsque nous cédons à la peur », a-t-il mis en garde depuis Chicago, terre de sa fulgurante ascension politique où il avait célébré, il y a huit ans, son accession à la Maison Blanche.
«Notre démocratie est menacée à chaque fois que nous la considérons comme acquise », a-t-il insisté, soulignant que la constitution américaine, « remarquable cadeau », n’avait aucun pouvoir en tant que telle.... suite de l'article sur Jeune Afrique