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28e sommet de l’Union africaine: un rendez-vous qui restera dans les annales
Publié le mercredi 1 fevrier 2017  |  RFI


© Autre presse par DR
Moussa Faki Mahamat, chef de la diplomatie tchadienne élu Président de la Commission de l’UA ce 30 janvier 2017


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La réunion des chefs d’Etat pour le 28e sommet de l’Union africaine s’est achevée à Addis-Abeba, le 31 janvier. Ce fut un rendez-vous historique avec le retour du Maroc dans le bloc régional. La famille panafricaniste est désormais au complet. La réunion a également été l’occasion de renouveler le bureau exécutif de l’UA, avec l’élection d’un nouveau président de la Commission qui succède à Mme Dlamaini-Zuma, première femme à occuper ce poste.

« Je, Moussa Faki Mahamat, jure solenellement… » Les prestations de serment des commissaires et des nouveaux président et vice-président de la Commission de l’Union africaine (UA) étaient les derniers articles à l'ordre du jour du Sommet de l’organisation continentale, qui s'est achevé le 31 janvier 2017, à Addis-Abeba. Ce 28e sommet fut un rendez-vous au programme particulièrement chargé. Au menu des festivités, il y avait les élections, mais aussi et surtout la résolution de la question épineuse du retour du Maroc dans le giron de l’UA qu’il fallait gérer avec beaucoup de doigté pour ne pas faire exploser l’Union africaine particulièrement divisée sur ce dossier.

Réparti en trois volets distincts, le rendez-vous s’est ouvert le 22 janvier avec le lancement de la réunion des représentants permanents de 54 pays de l’UA, suivie de la rencontre des ministres des Affaires étrangères. Ces premières réunions de haut niveau avaient pour but de préparer l’agenda du Sommet à proprement parler, qui s'est tenu sur deux jours (30 et 31 janvier) avec la présence des chefs d’Etat et de gouvernements.

Ces rencontres préparatoires sont utiles. On en a eu la preuve encore cette année avec le projet de retrait collectif de la Cour pénale internationale, accusée par certains Etat d’être hostiles aux Africains. Mais, faute de consensus parmi les Etats membres, le conseil exécutif composé des ministres des Affaires étrangères a décidé de renvoyer la question au plus tard. Résultat, le retrait de la CPI n’était pas à l’ordre du jour du sommet.
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