Togo/Quand démence, sadisme et vilenie s’invitent dans un combat ignoble et perdu d’avance: Agboyibo et ses ouailles droits dans leurs bottes de destruction de l’Opposition

Politique

Publié le mardi 7 fevrier 2017 | Emergence Togo

© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Congrès extraordinaire du CAR consacrant le retour de Yawovi Agboyibo et de la Méthode
Lomé, les 13 & 14 janvier 2017. Site de TOGO 2000. Congrès extraordinaire du CAR axé autour du thème "Retour à la méthode pour l`alternance".

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Voeux à la Nation 2017 de la formation politique OBUTS

- 19/1/2017

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Activités des partis politiques 2017

La politique est un domaine hautement noétique, de responsabilité et de doigté, où les viles intentions des acteurs en mal de sensations fortes sont très vite démasquées. Jusqu’où iront Me Agboyibo et ses brebis dans leurs agissements et élucubrations de nuire à Me Apévon et compagnie dont le seul péché est d’avoir refusé de sacrifier l’espoir du peuple meurtri sur l’autel de la gloutonnerie d’un insatiable hors-pair ?

Cette question triture les méninges de bon nombre de Togolais face à la vaste campagne de dénigrement cousue de ridicules mensonges à travers les fertiles imaginations du « gourou » du CAR et mise en œuvre par son « serviteur perroquet », Jean Kissi, qui ne cesse de laisser des plumes de médias en médias. Aussi incongru que cela puisse paraître, au lieu de mettre en œuvre leur fameuse méthode clament-ils productive, pour laquelle, ils estiment avoir repris les rênes du parti, Agboyibo et son disciple inepte s’enfoncent plutôt sans vergogne dans un combat sans motifs valables contre les Forces Démocratiques pour la République (FDR), le parti ennemi à abattre à tout prix et d’autres formations politiques notamment, l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC).

Au moment où toutes les attentes du peuple par rapport aux réformes et l’alternance politique sont focalisées sur la dynamique unitaire au sein de l’opposition, pour créer le rapport de force face au pouvoir, le CAR se singularise tristement à travers la haine et les invectives à l’encontre des compagnons de lutte. Il est désormais clair comme l’eau de roche, que Me Agboyibo est revenu à la tête de son « parti entreprise » pour servir des intérêts lugubres inavoués et non œuvrer aux cotés des forces démocratiques pour sortir les Togolais de la souffrance. Sinon, avec quoi riment ces bestiales anxiétés médiatiques orchestrées par lui et reproduites à la manière d’un texte de théâtre par son fanfaron Jean Kissi ?

Vraiment méconnaissable dans ses turpitudes aux yeux de ceux qui ne le savaient pas aussi pervers et cruel, l’ancien nouveau président du CAR, a atteint le summum des frasques anecdotiques que les Togolais lui connaissent. Opposant satellite du pouvoir, traitre, monnayeur des acquis démocratiques, opium du peuple … Bref tous les qualificatifs sont désormais bons pour nommer «une personnalité du pays» qui à travers ses propres opprobres et manigances se ravale au rang d’un vulgaire homme de rue.

Est c’est le prix à payer quand sous la bénédiction du peuple souverain, on gravit des échelons pour atteindre une certaine position ; et par mépris et ingratitude vis-à-vis de ce dernier, on cherche à ramer à contre courant. Quand ses caisses de résonance nous abasourdissent les oreilles à tout bout de chant qu’Agboyibo a tout donné au peuple togolais ; ont-il oublié que c’est parce que ce peuple a fait chorus autour de sa personne à une période donnée, qu’il a eu la force et les moyens de réaliser ces prouesses qu’on brandit aujourd’hui comme un trophée de guerre ?

En tout cas, aujourd’hui les enjeux ont beaucoup évolué et le débat sur le multipartisme et la création de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) est dépassé et c’est vainement que le très sulfureux député de basse classe, Jean Kissi, tente de vendre encore la peau de son « maître » vomi par la majorité des Togolais. Sur toutes les chaines de radios et de télévisions où il est allé étaler ses tares en se faisant violence de dénigrer les dissidents du CAR, il lui est difficile de faire un bout de phrase sans citer le nom de son mentor.

Au point que l’on se demande s’il garde encore son indépendance intellectuelle ? Tête baissée dans son obstination de jeter du discrédit sur l’Honorable Apévon et tous les autres cadres qui ont dit non à Agboyibo, il n’enchainait que des bévues tant sur le fond, que sur la forme. Avec un registre approximatif teinté de louvoiement et d’impéritie, d’aucuns se demandent comment un député aussi médiocre ait été promu à la tête d’une commission aussi importante au parlement : les affaires étrangères ? Quand dans ses balourdises, il dit par exemple que les FDR n’ont pas d’existence juridique du fait que ses premiers responsables n’aient pas démissionné du CAR, a-t-il oublié que son « gourou », Me Agboyibo a été membre du comité central du RPT, où il n’a pas démissionné avant de créer le CAR ?

D’ailleurs les exemples analogues sont légions et même aucune disposition de la charte des partis politiques n’oblige à le faire par écrit. Sur un autre plan, il se targue d’avoir un fief électoral, la préfecture de Vo. Dieu seul sait comment il a été élu aux législatives de 2013, si ce n’est avec le soutien et l’aura de Me Apévon qu’il cherche aujourd’hui à détruire à tout prix. Naturellement qu’il aura affaire à forte partie aux législatives prochaines quand il prendra le risque d’affronter le candidat des FDR dans le Vo, fief natal de l’Honorable Apévon.

En tout cas, ce n’est que le début d’une descente aux enfers de Jean Kissi et de son « président fondateur » Agboyibo qui ne pourront plus emballer les Togolais par quelque discours que ce soit. Ce qui est sûr, le peuple souverain découvre progressivement ses vrais « ennemis » et saura sanctionner au moment opportun. Wait and see !

Espoir KODJODJI ... suite de l'article sur Autre presse

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