Bouffonnerie, clownerie et gestion tropicale des affaires de la première puissance du monde. Il n’aura suffi que de deux semaines pour s’apercevoir des limites et tares du champion des Républicains à l’élection présidentielle de novembre 2016, une élection qu’il a remportée sans éclat ni grand triomphe et pour cause, l’homme est passé aux forceps et avec l’aide supposée ou avérée d’une puissance étrangère dont nous taisons le nom.
Trump au pouvoir, l’Amérique s’est transformée en une démocratie bananière pour ne pas dire de bananeraies. Toutes ses décisions sont contestées par la rue, par la classe politique et par les juges. Pour une des rares fois, les rues de New-York, Washington, Chicago… ont ressemblé à celles de Lomé, d’Abidjan ou de Conakry avec des marches de contestation du Président élu au lendemain d’une élection. Pour la 1ère fois, le pays de l’Oncle Sam n’a plus de leçon de démocratie à administrer au monde, aux pays du tiers monde. Le magnat de l’immobilier a réussi à transformer son pays qui désormais, doit se sentir tout petit aux côtés des nations comme le Ghana, le Bénin ou la Namibie.
Donald Trump a désormais tout le monde contre lui. Le Parti des Démocrates, ses propres amis du parti des Républicains, ses voisins Mexicains et Canadiens, les juges, les sénateurs et le monde entier est opposé à ses prises de décisions et à sa méthode de gouvernance.
Et pourtant on les avait avertis du danger que représentait l’excentrique milliardaire pour la démocratie et l’Etat de droit en Amérique et dans le monde.... suite de l'article sur AfreePress