Depuis sa libération, le 6 février 2016, après dix-huit mois de détention, Pascal Bodjona cultive la plus grande discrétion.
En un an, l’ancien ministre de l’Administration n’a fait qu’une seule apparition publique (lors de la réception du 14 juillet, à l’ambassade de France) et ne s’est exprimé qu’une fois dans les médias (une interview à JA, le 8 février 2016). Bien qu’il ait fait quelques séjours à l’étranger, notamment en France, il est quasi invisible à Lomé et se refuse à tout commentaire sur la vie politique du Togo.