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Zone UEMOA: le FMI prévoit une croissance économique autour de 6% sur le moyen terme
Publié le samedi 18 fevrier 2017  |  Agence Ecofin


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
3e réunion du Comité d’orientation stratégique Union européenne-Afrique au Togo
Lomé, le 23 juin 2016. Siège de l`UE au Togo. 3e réunion du Comité d’orientation stratégique Union européenne-Afrique consacrée à une revue du Programme indicatif régional (PIR 10e FED) et à l’identification des projets du PIR-11e FED. Ce Programme signé en juillet 2015 pour un montant de 1,15 milliard d’euros au titre du 11e Fonds européen de développement couvre tous les pays de la CEDEAO, en plus de la Mauritanie. Cette 3e réunion de Lomé a été ouverte par le Premier ministre Komi Selom Klassou, et connaît la participation des Présidents de la Commission de la Cédéao, Marcel Alain de Souza, et de la Commission de l’UEMOA, Cheikh Hadjibou Soumaré.


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Le Fonds monétaire international (FMI) a estimé, le 16 février, que les huit pays membres de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) devraient enregistrer une croissance économique située autour de 6% à moyen terme, tout en mettant en garde contre un accroissement des vulnérabilités.

«Les perspectives de croissance à moyen terme sont favorables avec une croissance du PIB autour de 6%, mais restent soumises à des risques baissiers importants. Les principaux risques pour les perspectives comprennent les incertitudes mondiales, les dérapages dans les plans d'assainissement budgétaire, les ralentissements des réformes structurelles ainsi que la baisse prolongée des prix du cacao », a précisé l’institution dans un communiqué publié à l’issue d’une mission d’experts du fonds qui a séjourné à Abidjan et Dakar du 7 au 15 février.


Et d’ajouter : «Des retards persistants dans la mise en œuvre de l'assainissement budgétaire accroîtraient encore la dette publique, augmenteraient les risques de crise de l'endettement et mettraient en péril la couverture monétaire. Parallèlement, la lenteur de la mise en œuvre de réformes structurelles clés empêcherait le secteur privé de prendre le relais pour générer une croissance forte et inclusive».

Le FMI a également fait remarquer que les données préliminaires suggèrent un déficit budgétaire global de 4,5% du PIB en 2016, plus élevé que prévu initialement. La dette publique est, quant à elle, en hausse et la couverture des réserves a baissé à 3,7 mois, reflétant une expansion continue des infrastructures publiques et un financement extérieur moindre que dans le passé.
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