Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Politique
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Politique

Les juridictions et services pénitentiaires ont besoin de moyens
Publié le lundi 20 fevrier 2017  |  Le Temps


© aLome.com par Parfait
Justice togolaise.
Cour d’Appel de Lomé.


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier


Un rapport d’audit de l’inspection générale et juridictions pénitentiaires recommande plus de moyens pour un meilleur rendement de la justice.

L’audit des juridictions et de l’inspection générale des services juridictionnels et pénitentiaires a été validé. Cet audit vient « parachever le processus des études de diagnostic pour identifier les leviers capables d’accélérer la modernisation et d’affiner le ciblage des axes d’intervention des partenaires».

L’étude appelait à analyser l’adéquation entre les attributions et les moyens des services du ministère, de dégager les causes de dysfonctionnements éventuels.

Cette étude a pris en compte la Cour suprême, les Cours d’Appel de Lomé et de Kara, le Tribunal de première instance (TPI) de 1ère classe de Lomé, les TPI de 2ème classe de Kara et d’Atakpamé, les TPI de 3ème classe de Tsévié et de Bafilo ainsi que l’Inspection Générale des Services Juridictionnels et Pénitentiaires (IGSJP).

Les résultats recommandent le renforcement du personnel de la Cour suprême en magistrats et greffiers, l’augmentation de son budget, l’intensification de la résorption du passif des dossiers, la stabilisation du fonctionnement des cabinets d’instruction, l’adoption du projet de texte sur les assignations et le traitement en ligne, la modernisation de la justice sociale et la construction d’un tribunal pour enfants.

A propos des statistiques au niveau de la justice togolaise, jusqu’en décembre 2016, le ministre en charge de la Justice a indiqué que « l’ensemble de l’effectif en place au sein du ministère s’élevait à 1345 agents, dont 18% de magistrats, 15% de greffiers, 18% de personnel administratifs, 35% de surveillants de l’administration pénitentiaire, 13% de volontaires et bénévoles et 1% de contractuels».

Les défis conjoncturels et structurels demeurent nombreux.
... suite de l'article sur Autre presse


 Commentaires