Un groupe de travail pour mieux réfléchir et trouver des solutions aux problèmes qui minent le secteur éducatif togolais. L'initiative était de Sélom Klassou le 18 janvier dernier. Après plusieurs rencontres, la montagne n’a accouché que d’une souris. Les conclusions n’ont suscité que déception et colère chez les enseignants.
Le Premier ministre souhaitait lors de la création de ce groupe de travail que « sans délai, les propositions idoines et les préoccupations des enseignants et celles du gouvernement soient traitées de façon globale afin de garantir les acquis du secteur éducatif et de relever les nouveaux défis ». Une belle promesse restée un leurre.
Après un mois de discussions, les enseignants n’ont pas eu gain de cause. Ils retournent à leur méthode de pression. L’on apprend qu’en plus de la grève prévue (qui commence demain 21 février), les copies ne seront pas corrigées et les bulletins non remplis. ... suite de l'article sur Autre presse