Un Togolais a adressé une correspondance au président national de l’Union des forces de changement (UFC) sur « l’attitude » des cadres de son « parti dans les structures de l’Etat ».
Dans le courrier adressé à Gilchrist Olympio, ce citoyen estime que beaucoup ont cru que l’accord UNIR-UFC allait contribuer à l’enracinement de la démocratie et de l’Etat de droit au Togo. Ce qui n’est pas à ses yeux le cas aujourd’hui.
De plus, dénonce-t-il, les actes de certains militants de l’Union des forces de changement "nommés préfets qui se comportent comme si les administrés de ces préfectures sont des esclaves".
"Pour eux, ils ont le droit de vie et de mort sur les citoyens de ces localités en posant autant d’actes répréhensibles au regard de la Constitution et des règles de droit qui régissent notre Etat", écrit-il.