Remise des conclusions des travaux du groupe de travail au Premier ministre Selom Klassou, et après?

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Publié le lundi 13 mars 2017 | Togo Actualité

© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
Remise du relevé de conclusion des travaux du Groupe de travail sur le secteur de l’éducation nationale au PM Klassou
Lomé, le 10 mars 2017. Primature. Le Premier ministre Selom Klassou a présidé à la remise du relevé de conclusion des travaux du Groupe de travail sur le secteur de l’éducation nationale. C’est le Ministre de la Fonction publique, Gilbert B. Bawara qui a remis ce document au chef du Gouvernement, en présence des participants à ce groupe de travail.

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Education Nationale 2017

Le Premier ministre Selom Klassou a présidé ce vendredi à la Primature, siège du gouvernement, à la remise du relevé de conclusion des travaux du Groupe de travail sur le secteur de l’éducation nationale. C’est le Ministre de la fonction publique, Gilbert Bawara qui a remis le document au chef du gouvernement en présence des participants de ce groupe de travail.

Le relevé d conclusion est un document qui ressasse les points d’accord obtenus au cours des deux semaines de négociations entre le gouvernement, les syndicats du secteur public et confessionnel, et les partenaires techniques et financiers.

Prenant la parole, le PM Sélom Klassou, a rassuré les enseignants que leurs revendications seront prises en compte. A titre indicatif, a-t-il, souligné plus de 12 000 enseignants auxiliaires ont été engagés dans l’enseignement depuis janvier 2017. Le reste ne devrait pas tarder. A cet effet, le PM a demandé aux retardataires d’apprêter leurs dossiers.

S’agissant des précomptes, pomme de discompte entre enseignants grévistes et autorités, le PM a préconisé la mise en place d’une Commission ad’hoc pour réfléchir sur le sujet.
Dans son adresse, le PM a particulièrement revenue sur la cohésion et la paix sociale facteurs de développement. A cet effet, il a invité les acteurs du monde de l’éducation a œuvré dans ce sens.

«Revenons à la maison. La violence n’a pas sa place à l’école », a-t-il souligné déploré la vague de violence qui emballe le pays avec des écoles occupant les voies publiques et exerçant des voie de fait sur leurs camarades.

Il a particulièrement fustigé le nota bene des enseignants, « les cours des périodes de grève sont considérés comme faits qui jettent les élèves dans la rue », appelant chaque acteur à jouer sa partition pour le retour de la paix dans le pays. ... suite de l'article sur Autre presse

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