Accueil    MonKiosk.com    Sports    Business    News    Femmes    Pratique    Le Togo    Publicité
NEWS
Comment

Accueil
News
Économie
Article



 Titrologie



Autre presse N° 001 du

Voir la Titrologie

  Sondage


 Nous suivre

Nos réseaux sociaux



 Autres articles


Comment

Économie

CEDEAO, COMESA: le Maghreb se sent de plus en plus africain
Publié le lundi 13 mars 2017  |  Agence Ecofin


© aLome.com par Edem Gadegbeku & Parfait
3e réunion du Comité d’orientation stratégique Union européenne-Afrique au Togo
Lomé, le 23 juin 2016. Siège de l`UE au Togo. 3e réunion du Comité d’orientation stratégique Union européenne-Afrique consacrée à une revue du Programme indicatif régional (PIR 10e FED) et à l’identification des projets du PIR-11e FED. Ce Programme signé en juillet 2015 pour un montant de 1,15 milliard d’euros au titre du 11e Fonds européen de développement couvre tous les pays de la CEDEAO, en plus de la Mauritanie. Cette 3e réunion de Lomé a été ouverte par le Premier ministre Komi Selom Klassou, et connaît la participation des Présidents de la Commission de la Cédéao, Marcel Alain de Souza, et de la Commission de l’UEMOA, Cheikh Hadjibou Soumaré.


 Vos outils




 Vidéos

 Dans le dossier


Face à une Europe bunkerisée, en panne de croissance et de perspectives, le Maghreb semble aujourd’hui davantage tenté de traverser le Sahara que la Méditerranée.


Dans 7 mois, la Tunisie deviendra le 20eme pays de la COMESA (Common Market for Eastern and Southern Africa). Elle s’intégrera dans un marché africain de 625 millions d’habitants qui, depuis le 10 juin 2015, rassemble également la SADC (Southern African Development Community) et l’EAC (East African Community) pour un PIB supérieur à 1000 milliards de $.


Dans le même temps, le Maroc a exprimé sa volonté de rejoindre la CEDEAO, une perspective qui divise l’Afrique de l’Ouest. Des résistances s’expriment tout d’abord sur le plan économique. Le niveau de développement agricole et industriel du royaume chérifien fait craindre un déséquilibre trop défavorable aux entreprises ouest-africaines.

L’autre obstacle tient aux divergences internationales qui concernent le statut du Sahara occidental. Il s’agit de ne pas importer dans la CEDEAO la vive tension qui perdure entre le Maroc et l’Algérie et qui a rendu l’Union du Maghreb arabe impraticable.

«Nous allons mettre au point une commission paritaire pour que dans un mois et demi nous puissions signer un accord de partenariat économique déclarant le Maroc comme un associé privilégié», a sagement modéré le secrétaire général de l’organisation ouest africaine Marcel de Souza.
... suite de l'article sur Autre presse


 Commentaires