L’Afrique, d’ici 2040, veut se projeter dans l’utilisation des trains à grande vitesse en matière de transport ferroviaire.
La question a été au centre des travaux ce mercredi de la première réunion du Comité technique spécialisé (CTS) de l’Union africaine (UA) sur les transports, l’énergie, les infrastructures et le tourisme qui se tient à Lomé depuis le 13 mars
Comment l’Afrique pourra-t-elle réaliser un tel projet quand on sait que l’état des voies ferrées et encore vétuste, 16 pays ne disposent pas encore de voies ferrées, l’interconnexion entre les chemins de fer existants est très faible et que seulement 6,5 km de voies ferrées utilisent l’électricité ?
Dans sa tentative de réponse, Jésus Niazaire, consultant ferroviaire et représentant de l’Union internationale des chemins de fer (UIC) à cette réunion, a estimé que la grande vitesse est un « rêve » qui doit devenir réalité. « Mais avant elle, il faut qu’on arrive à une vitesse raisonnable, 120 km qu’avait retenue l’Union africaine des
chemins de fer », a-t-il précisé. ... suite de l'article sur Autre presse