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    Société

    La dépénalisation ne peut être la porte ouverte à tous les excès
    Publié le mercredi 22 mars 2017  |  Republicoftogo


    © aLome.com par Parfait
    Guy Madjé Lorenzo, ministre de la Communication, de la Culture, des Sports et de la Formation civique dans le Gouvernement Klassou I
    Lomé, le 29 juin 2015. Parlement du Togo. Le Gouvernement Klassou I en scelle.


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    La dépénalisation des délits de presse est effective au Togo depuis une dizaine d’années. La justice est en général clémente à l’égard des journaux coupables de diffamation ou d’atteinte à la vie privée. Ce qui est très fréquent.

    Mardi, le ministre de la Communication, Guy Lorenzo, rappelé aux journalistes les impératifs d’éthique et de déontologie. Il intervenait à l’occasion d’une rencontre organisée par la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC), l’organe de régulation.

    ‘La question de la responsabilité des journalistes constitue un aspect fondamental dans l’émergence d’une presse libre et moderne. La dépénalisation à laquelle nous sommes attachés n’est pas synonyme d'absence de responsabilité ’, a-t-il martelé.

    Pour M. Lorenzo, les journalistes sont capables du meilleur comme du pire. Et le pire peut être une menace pour les fondamentaux de la République.
    ... suite de l'article sur Autre presse


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